Là-bas, sous le ciel clair : le récit d’une adoptée à la recherche de ses racines

Entre 1950 et 1953, la guerre de Corée fait plus de 100 000 orphelins à la suite du conflit qui divise la péninsule. Les Etats-Unis, touchés par cette nouvelle, se manifestent alors en proposant d’adopter certains de ces enfants. C’est ainsi qu’en 1955 naît la Holt, agence d’adoption créée par Bertha et Harry Holt, qui devient le premier engrenage de l’adoption des coréens à l’étranger.

Les histoires de grand-père Moon

Connaissez-vous quelques anecdotes coréennes ? Non ? Et bien j’aimerais vous présenter un recueil illustré de 50 proverbes coréens les plus utilisés en Corée. 

Ce recueil a été publié en 2022 grâce à un projet mis en place sur une plateforme de financement participatif. Les internautes ont très vite répondu positivement, la communauté a financé ce projet, ce qui a pu donner le jour à un recueil d’anecdotes coréennes très joliment illustré. 

Inyeon (인연) : le fil du destin

En Corée du Sud, le mot inyeon (인연) renvoie au lien qui unit deux personnes et à la connexion émotionnelle entre ces individus. C’est un terme qui ne possède aucun équivalent dans la langue française, et qui mérite de ce fait de se voir expliquer plus en détail. 

La Reine d’Itaewon : le destin sombre des travailleuses de la nuit

À l’heure où l’homosexualité se fraye un infime chemin dans les séries coréennes, d’autres sujets ne sont pas ou très peu mentionnés. En effet, la communauté LGBTQIA+ est tellement vaste mais peine à se faire accepter dans tous les pays. La Corée du Sud, encore aujourd’hui, ne reconnaît pas officiellement les droits des personnes LGBTQIA+. Cependant, des auteurs prennent leur plume afin de nous en apprendre plus sur les faces cachées de cette communauté à l’étranger. C’est le cas de Sandrine Holin dans son œuvre La Reine d’Itaewon, où l’auteure nous fait découvrir le monde de la nuit en Corée du Sud, à travers des enquêtes et histoires du passé.